Lepeuple est attirĂ© par ses exĂ©cutions plus pour crier son mĂ©pris face au suppliciĂ© et se dĂ©lecter de ses derniers instants plus que pour l'exĂ©cution elle-mĂȘme trop rapide Ă  leur goĂ»t "le peuple n'Ă©tait point satisfait, il n'avait rien vu ! La chose Ă©tait trop rapide." Lesgens de pouvoir ne sont pas parfaits ce qui compte pour le peuple c’est qu’ils servent l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral et non le leur comme le font nos cupides. Autre trahison qui dirige cette Europe ce sont des Van Rompuy et Merkel et Bruxelles qui ont mis sous tutelle financiĂšre nos Etats afin de rĂ©aliser ce quatriĂšme REICH au service du chaos programmĂ© par les promoteurs Quiavait dit qu’un malhonnĂȘte peut devenir honnĂȘte. Le problĂšme du peuple congolais est la naĂŻvetĂ©. Il sait que ce « Messi autoproclamĂ© » Ă©tait connu hier comme malhonnĂȘte et il pensait que ce dernier peut renier Ă  son existence en tant que malhonnĂȘte. RDC compliquĂ©e et malheureux. Fast Money. Moussa Diarra, dĂ©putĂ© Ă©lu du RPM en commune IV La dĂ©mission du Premier ministre Soumeylou BoubĂšye MaĂŻga est rĂ©clamĂ©e par Moussa Diarra, Ă©lu du Rassemblement pour le MaliRPM en commune IV du district de Bamako. La foule qui est sortie le vendredi 5 avril, mĂȘme si c’est une minoritĂ©, c’est le peuple ; il faut leur accorder un crĂ©dit », a dĂ©clarĂ© le parlementaire auteur d’une lettre ouverte demandant au Premier ministre de dĂ©missionner. Dans une interview qu’il nous a accordĂ©e, Moussa Diarra a expliquĂ© les raisons de cette lettre ouverte. Ce n’est pas venu de quelqu’un d’autre ; et dire que c’est s’attaquer Ă  la personne de Soumeylou, ce n’est pas cela », a-t-il racontĂ© en prĂ©cisant qu’il s’agit du Mali qui est au bord de l’effondrement politique depuis plusieurs mois. L’élu du parti au pouvoir a fait savoir que le Mali traverse quelques crises qui se sont accentuĂ©es ces derniĂšres semaines. Il s’agit de l’insĂ©curitĂ© au nord et centre dont un aspect est le drame survenu Ă  Ogossagou dans le cercle de Bankass avec l’exĂ©cution de plus de 170 civils Peul. Une autre crise Ă©voquĂ©e par Moussa Diarra est l’enlisement du front social, notamment la grĂšve des enseignants. L’AssemblĂ©e nationale du Mali a interpellĂ© le gouvernement sur ces deux crises et a formulĂ© des rĂ©solutions afin qu’un terrain d’entente soit trouvĂ©. Mais on constate que ces rĂ©solutions n’ont pas Ă©tĂ© respectĂ©es par le gouvernement », a dĂ©plorĂ© le dĂ©putĂ©. En plus des constats sur le refus du gouvernement de se conformer aux rĂ©solutions des dĂ©putĂ©s, Moussa Diarra a estimĂ© qu’il y a une crise de confiance entre le peuple et le Premier ministre. Nous avons vu le 5 avril une mobilisation du peuple malien ; ce peuple que nous reprĂ©sentons demande le dĂ©part de Soumeylou », a-t-il dit. C’est pour cette raison que le dĂ©putĂ© Ă©lu en commune IV a demandĂ© la dĂ©mission du Premier ministre. Pour lui, ce serait un suicide d’aller aux reformes constitutionnelles dans ces conditions oĂč il n’y a pas d’entente entre les Maliens. Ce n’est pas parce que nous sommes de la majoritĂ© que nous allons nous asseoir pour regarder notre avenir partir Ă  vau-l’eau », a-t-il affirmĂ©. Le combat que mĂšne la majoritĂ© aujourd’hui n’est pas destinĂ© contre la personne de Soumeylou, selon Moussa Diarra. Si ça ne tenait qu’à moi, il faudra amener comme Premier ministre quelqu’un de consensuel, un homme au-dessus d’un parti politique et qui peut rassembler les Maliens autour d’un projet commun », a-t-il souhaitĂ©. Soumaila T. Diarra Commentaires via Facebook RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 28/03/2022 Ă  1408, Mis Ă  jour le 28/03/2022 Ă  1701 Nous sommes les recordmen des prĂ©lĂšvements obligatoires du monde, Ă  47%», a assurĂ© le candidat Eric Zemmour. AFP / BERTRAND GUAY LA VÉRIFICATION - Nous sommes le peuple le plus imposĂ© au monde», s'est indignĂ© Eric Zemmour. Une idĂ©e reprise Ă©galement par ValĂ©rie PĂ©cresse. LA QUESTION. L'antienne est connue, au point de prendre des allures de dicton en France, particuliers comme entreprises sont Ă©crasĂ©s par les prĂ©lĂšvements obligatoires. Le sujet, ancien, revient lors de chaque Ă©lection prĂ©sidentielle et celle d'avril 2022 ne fait pas exception. InvitĂ© des Grandes Gueules sur RMC, la semaine derniĂšre, Eric Zemmour s'est prononcĂ© pour une baisse massive des impĂŽts et des taxes. Nous sommes le peuple le plus imposĂ© au monde. Nous avons une protection sociale obĂšse», s'est insurgĂ© le candidat Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle, ajoutant que nous sommes les “recordmen” des prĂ©lĂšvements obligatoires du monde, Ă  47%».À lire aussiRoyaume-Uni les baisses d’impĂŽt en trompe-l’Ɠil de Rishi SunakInvitĂ©e d'ÉlysĂ©e 2022, quelques jours plus tard, ValĂ©rie PĂ©cresse a repris ce refrain nous sommes champions du monde des impĂŽts», a assurĂ© la candidate LR. De son cĂŽtĂ©, pourtant, le gouvernement l'assure le poids des prĂ©lĂšvements obligatoires a baissĂ© durant le quinquennat. Alors, qu'en est-il ? La France reste-t-elle Ă©crasĂ©e sous les impĂŽts ? Ou l'Ă©tau fiscal s'est-il lĂ©gĂšrement desserrĂ© ? Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s. Il vous reste 84% Ă  sa libertĂ©, c’est cultiver sa Ă  lire votre article pour 0,99€ le premier mois DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Connectez-vous Imam Mahmoud Dicko, ancien prĂ©sident du Haut Conseil Islamique du Mali Un congrĂšs dont la marraine Ă©tait Mme CissĂ© Assoumao Barry, tenu le 3 aout Ă  Bamako, a surtout Ă©tĂ© une tribune pour fustiger le comportement attentiste de la population. Aujourd’hui, il est temps que nous les Maliens on se regarde les yeux dans les yeux et qu’on dise les choses par leurs noms. On a beaucoup tergiversĂ©, il faut avancer. Le pays a longtemps tournĂ© en rond ; depuis l’indĂ©pendance, c’est la mĂȘme chose on avance et on recule. Il faut que cela s’arrĂȘte », a dĂ©clarĂ© l’imam Mahmoud Dicko qui en Ă©tait le parrain. Ce jour, l’imam Dicko s’est montrĂ© plus que jamais dĂ©terminĂ© Ă  jouer son rĂŽle de veille et d’acteur de la sociĂ©tĂ© civile. C’était le tout premier congrĂšs de la FĂ©dĂ©ration des associations et groupements de la sociĂ©tĂ© civile, et son parrain a ouvertement expliquĂ© qu’il appartient dĂ©sormais au peuple de s’assumer pour sortir le Mali de l’insĂ©curitĂ© et de la corruption. Face Ă  la persistance de l’instabilitĂ©, l’imam Dicko a fait savoir que le peuple doit chercher Ă  savoir ce qui empĂȘche le pays d’avancer. Le monde avance, nous on traine. Pourquoi on ne cherche pas la cause ? J’ai dit et je rĂ©pĂšte, nos pays ne connaissent pas de systĂšme. En Occident, c’est le systĂšme ; quiconque est choisi peut rĂ©ussir. Chez nous, c’est le chef qui est responsable ; si ceux qui dirigent sont corrects le pays avance, s’ils s’arrĂȘtent le pays s’arrĂȘte, s’ils sont malhonnĂȘtes le pays devient malhonnĂȘte », a-t-il poursuivi. Mais c’est surtout un message politique fort que l’imam Dicko a tenu Ă  transmettre aux congressistes et aux Maliens en gĂ©nĂ©ral. C’est le peuple qui est dĂ©tenteur de la lĂ©gitimitĂ©. Il est temps qu’on impose ce qu’on croit ĂȘtre bon pour le pays. Les hommes politiques cherchent la lĂ©galitĂ©. Mais c’est le peuple qui dĂ©tient la lĂ©gitimitĂ© », a-t-indiquĂ©. Et Amadou Coulibaly, responsable du mouvement, d’emboiter le pas au parrain en demandant l’alternance dans la gestion des affaires. Le changement, c’est des Ă©lections, le Mali Ă©tant un pays dĂ©mocratique. Pour lui, il faut changer de gouvernance puisque les fondements du pays sont atteints. Notre constitution, elle n’est pas applicable depuis 2013. Quand on arrive Ă  ce niveau, nous on pense qu’il faut une alternance. On ne dit pas un coup d’Etat mais il faut un changement profond dans ce pays, il faut changer le systĂšme, changer ceux qui ne peuvent pas faire ce travail », a-t-il affirmĂ©. Ainsi, ceux qui sont parrainĂ©s par l’imam Dicko estiment que les citoyens doivent dĂ©sormais ouvrir les yeux pour connaitre ceux qu’ils choisissent pour les gouverner. Ce pays lĂ  est tellement corrompu Ă  un certain niveau jusqu’à ce qu’on arrive mĂȘme plus Ă  le dire. C’est ce qui fait que tout le monde est devenu un peu malhonnĂȘte dans les faits et gestes. C’est pour cela que les associations quand tu viens les voir avec 5000 ou 10 000 FCFA elles te suivent », a dĂ©noncĂ© Amadou Coulibaly. Enfin, les congressistes ont tenu Ă  rappeler que les responsables qui gouvernent sont les employĂ©s, des gens qui travaillent pour le peuple. C’est nous qui les payons avec nos impĂŽts et nos taxes, mais si on a peur d’eux, si on a peur de nous exprimer, de nous imposer, de demander ce qui s’est passĂ©, oĂč est notre argent, ça ne va pas », a poursuivi Mamadou Coulibaly pour qui les autoritĂ©s doivent des explications sur ce qui se passe dans la rĂ©gion de Mopti. Soumaila T. Diarra Commentaires via Facebook

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